Union Nouvelle des Syndiqués de la C.R.A.M. NORD-PICARDIE.

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UNS-CRAM

LITIGES EN COURS

Cette page évoque des incidents plus ou moins graves dont la direction a été, ou sera interpellée.

Par mesure de prudence, nous tenterons de traiter ces dossiers sans porter de jugement à priori et en évitant, dans la mesure du possible, de désigner nommément les acteurs volontaires ou non qui sont impliqués.

PREMIER SUJET:

DEUX SITES SOUS PRESSION.

Nous sommes en présence d'un incident majeur qui semble relever d'une incapacité à gérer humainement un secteur d'activité surchargé de travail.

La direction a été avisée le plus rapidement possible des effets extrêmement négatifs de cette gestion, ce qui l'a amené à prendre des dispositions dans l'urgence.

Bien que nous ne pouvons que donner acte à cette direction d'avoir su écouter rapidement les arguments du CHSCT, il nous apparaît qu'elle ne semble pas avoir mesuré l'impact réel sur la santé des agents d'une gestion coercitive exercée de manière systématique.

En effet, après avoir écouté les différentes parties, un compte-rendu effectué par un agent de direction n'a malheureusement pas répercuté un témoignage particulièrement douloureux. Bien que la direction nous a assuré que ce n'était nullement intentionnel (ce qui est probablement vrai), la situation reste regrettable et incite à la suspicion.

Et c'est là que le bât blesse.

Le CHSCT ne pourra plus accepter que seule la direction soit en mesure d'établir une forme de procès-verbal, qui, remis aux participants plus d'un mois après l'évènement, ne reflète que partiellement le déroulement de l'entretien.

Pour l'affaire en cours, la Direction ainsi que l'autorité administrative qui a été saisie pour l'occasion, ont été informées de l'ensemble des correctifs que nous avons jugé indispensables.

Reste que nous restons perplexes vis-à-vis d'une direction qui tente de minimiser les reproches envers son encadrement, alors qu'elle n'hésite pas à condamner FERMEMENT tout écart des agents subalternes, ce qui ne répond pas à une gestion saine de notre entreprise et risque de mettre à mal le sentiment d'impartialité qui devrait être la règle.

Enfin, c'est juste notre avis...

NB: D'un site dont le personnel s'est manifesté à l'UNANIMITE, nous nous apercevons que deux autres secteurs dirigés par le même encadrement, semblent vouloir se manifester peut être avec un peu moins d'homogénéité mais de manière totalement volontaire, sans aucune intervention de l'U.N.S.. Il fallait le signaler.

NOUVELLES DU MOIS DE MAI 2004

Il nous semble que la position de la Direction vis-à-vis de ce problème n'est pas à la hauteur des attentes des personnels en place. c'est du moins, ce qui ressort des diverses interventions qui nous parviennent. La peur d'une rétorsion future s'installe et ne favorise nullement une amélioration des conditions de travail. Divers acteurs se manifestent pour une radicalisation du litige, allant même jusqu'à se préparer à le porter devant les juridictions pénales. La Direction a été avisée de ce risque. Elle reste dans l'expectative et n'avisera que si les faits s'avèrent exacts.

Pour l'U.N.S. qui a, depuis le début de cette affaire, tenté de trouver avec la direction une issue honorable pour tous, ne peut que regretter de constater que cette dernière, soit ne mesure pas réellement le risque réel sur la santé des agents concernés, ou encore plus grave, apporte un soutien démesuré à son encadrement, alors qu'elle n'hésite pas à sanctionner les employés subalternes. Si effectivement il s'avérait que cette deuxième voie était volontaire, l'U.N.S. se verrait dans l'obligation de réclamer aux autorité judiciaires à condamner, dans le cadre de la Loi sur le harcèlement, des agissements répréhensibles.

NOUVELLES DU MOIS DE JUIN 2004

Le dossier complet sera maintenant pris en charge par le nouveau Secrétaire du CHSCT (UFICT-CGT) ainsi que de la DDETFP de Lille. L'ensemble des partenaires syndicaux s'y associe. L'affaire reste d'une gravité extrême qui engage la responsabilité des représentants du personnel en matière de prévention de risques évidents sur la santé mentale et physiologique d'agents de l'institution.

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