COMITE D’ENTREPRISE
CRAM NORD PICARDIE
11, Allée VAUBAN 59662 VILLENEUVE
D’ASCQ
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PROCES VERBAL
REUNION PLENIERE
MERCREDI 23 MARS 2005
9 H 30 SALLE DU CONSEIL
D’ADMINISTRATION
Approuvé lors de la réunion
plénière du 18 mai 2005
ORDRE DU JOUR
²²²²²
1) Approbation des procès verbaux des réunions du 18
janvier et 16 février 2005.
2) Avis sur les bilan et compte de résultat du Comité
d’Entreprise arrêtés au 31 décembre 2001 en présence du Commissaire aux
Comptes.
3) Bilan de démarrage de la plate-forme téléphonique.
4) Déclaration des handicapés – Exercice 2004.
5) Etat des heures supplémentaires arrêté au 28 février 2005.
6) Information sur les véhicules de service.
7) Questions diverses.
Etaient
présents :
Pour
SNFOCOS Cosme ADJOVI (T)
Pour
UFICT Patrice BARDET (RS)
Pour
CGT Patrick CARON (T) Sébastien
BATAILLE (S)
Pour
CFDT Didier DUROT (T) Colette
DEBOSQUE (RS)
Pour
SUD Claude HIDOT (T) Dominique
DELERUE (S)
Annie France VAN BELLEGHEM (RS)
Pour
UNS Alain LAURENT (T) Didier
SEYS (T)
Christiane CARBONNET (T) Richard
MAHIETTE (S)
Yves JEHANNIN (S) Gérard CARBONNET
(RS)
Pour
CFTC Corinne PECQUEUR (RS)
Etaient
excusés :
Pour
SNFOCOS Anne Marie RICHARD (S)
Pour
FO Jean Claude MENU (RS)
Pour
UFICT Christian DELBOË (T)
Pour CFDT Joëlle
KETELS (S)
«
T = Titulaire
«
S = Suppléant
«
RS =
Représentant Syndical
La réunion débute à 9
heures 30, présidée par Monsieur CORVAISIER en présence de Monsieur BOCQUET.
1° Approbation des procès verbaux
des réunions du 18 janvier et 16 février 2005.
² Procès verbal du 18 janvier 2005
Le
procès verbal est approuvé à l’unanimité.
² Procès verbal du 16 février 2005
Le
procès verbal est adopté à l’unanimité.
Monsieur
BARDET rappelle que l’engagement avait été pris de fournir le cahier des
charges des mutuelles.
Monsieur
LAURENT le remettra à qui le demandera.
Monsieur
ADJOVI demande si le rapport de la commission de contrôle a été fait.
Monsieur
SEYS répond que pour les années 1999 – 2000 – 2001, les rapports ont été
rédigés. Le Commissaire aux comptes a repris les 3 années, a fait une liste
d’observations, à la suite de quoi 24 pièces comptables ont été effectuées. Ces
rapports ont été présentés à l’époque.
2°
Bilan de la plate-forme téléphonique
Monsieur
BOCQUET fait un bilan de la plate-forme téléphonique qui a démarré le 18
janvier et fonctionne très bien. L’effectif de départ est de 17 personnes. Deux
nouveaux techniciens ont rejoint la plate-forme, auxquels vont s’ajouter 5
nouvelles embauches. Ces agents seront formés progressivement.
Nous
avons réussi à maintenir un taux de satisfaction entre 90% et 97%. La moyenne
est de 800 à 900 appels/jour, avec des pointes à 1200 appels.
Les
messages flash permettent d’atténuer la charge en bout de chaîne. Tous les
appels entrants sont gérés, 4 CITR, ROUBAIX, ARMENTIERES, CAMBRAI et LOMME ont
été basculés, LAON et CREIL le seront prochainement, et début mai TOURCOING et
AMIENS suivront.
Lorsqu’un
CITR conséquent est pris en charge par la plate-forme, les appels affluent en
masse. Une baisse sensible des appels est constatée au moment des vacances
scolaires. 1500 relevés de carrière ont été envoyés, ainsi que des attestations
de paiement ou des attestations de retraite. Nous allons maintenant faire
l’envoi direct des dossiers amiante.
Madame
DEBOSQUE demande si la charge de travail des agents des CITR a été allégée
suite à la bascule du téléphone.
Monsieur
BOCQUET répond que dans certains services, les interventions téléphoniques sont
en baisse. Uniquement les appels de niveau 1 sont traités à la CRAM,
c'est-à-dire les appels généraux des clients non identifiés, dès que le dossier
est instruit, les assurés ont les coordonnées de l’agent qui suit leur dossier,
ils s’adressent directement à lui.
Monsieur
CORVAISIER rappelle qu’il n’était pas question de casser les relations de
proximité. L’idée était de centrer le conseiller retraite sur son cœur de
métier et le dégager des tâches annexes. Il y a énormément d’appels pour des
demandes de rendez vous. Nous essaierons à terme de proposer aux télé
conseillers de prendre rendez vous sur l’agenda des conseillers retraite.
Monsieur
CARBONNET fait remarquer que les conseillers retraite ne sont pas favorables à
cette formule.
Monsieur
CARON s’interroge en ce qui concerne le paravent qui est très près des postes
de travail et dans lequel le personnel s’accroche, et demande s’il y aura des
appels pour surveiller les réponses des télé conseillers.
Monsieur
CORVAISIER informe que ce genre d’appels se fera certainement, ce sont les
« appels mystère », c’est la CNAV qui procède à ce genre d’appels.
Monsieur
BOCQUET répond qu’il ne changera pas les cloisons, elles sont en place pour
atténuer les bruits.
Monsieur
SEYS interroge lorsqu’on appelle un CITR à partir d’un n°abrégé, il arrive
qu’il soit transféré au siège.
Monsieur
BOCQUET explique que les appels sont déroutés et arrivent directement sur la
plate-forme.
Monsieur
HIDOT précise que le Comité d’Entreprise utilisait les numéros abrégés, désormais
il sera difficile de joindre les CITR.
Monsieur
BOCQUET conseille de se rapprocher de Monsieur VANDEWALLE pour obtenir la liste
des numéros d’appel, et voir également si une numérotation abrégée peut être
envisagée.
Monsieur
BARDET souhaiterait savoir comment vont s’étaler l’équivalent des 3 mois de
formation pour les nouveaux embauchés, et dans quel délai ils pourront être
opérationnels.
Monsieur
BOCQUET répond qu’aujourd’hui il y a une base précise des motifs d’appels, ils
sont répertoriés, la capacité à donner des réponses pertinentes par les
conseillers augmente de jour en jour. Les nouveaux embauchés sont formés à une
prestation simple du type paiements ou amiante, et à l’utilisation de l’outil.
L’après midi ils font le recyclage avec le formateur. C’est une formation
progressive sur le site.
Monsieur
BARDET demande si les nouveaux embauchés auront également une formation
générale.
Monsieur
BOCQUET répond par l’affirmative.
Monsieur
CARBONNET souhaiterait que les 6 heures de travail en plate-forme soient
respectées, que les difficultés au niveau des prises de congés et de RTT soient
atténuées ainsi que les remplacements des personnels absents, et émet le
souhait que des solutions pérennes soient trouvées pour les salariés.
Monsieur
BOCQUET explique que tous les congés et RTT ne peuvent pas être accordés
automatiquement quand les gens le veulent car il y a un minimum de présence à
avoir. Toutes ces contraintes réelles sont valorisées à travers la prime
attribuée chaque mois. Il n’y a pas de problèmes majeurs. Si les 6 heures ont
été dépassées c’est que les agents voulaient les dépasser. Au début il n’y
avait pas de tâches annexes.
Monsieur
CORVAISIER ajoute que nous allons être contrôlés puisqu’il y a eu un gros
investissement fait par la Caisse Nationale. La qualité de service sera
mesurée.
Monsieur
CARON demande si le nombre d’appels par agent a été évalué.
Monsieur
BOCQUET répond que les appels sont répartis de façon aléatoire par la machine,
tout le monde prend à peu près le même nombre d’appels dans la journée.
L’objectif est que les appels ne dépassent pas 3 minutes.
Madame
DEBOSQUE ajoute qu’il serait intéressant de connaître le nombre d’appels par
agent.
Monsieur
BARDET voudrait savoir comment sont calculés les effectifs.
Monsieur
CORVAISIER fait savoir que la volumétrie a été calculée au moment de la
création de la plate-forme, 20 postes de travail ont été figés par le
consultant avec une extension possible à 25.
Monsieur
LAURENT se demande si les 20 postes figés qui gèrent actuellement 900 appels
par jour seront suffisants pour faire face à une possible augmentation
conséquente et durable des appels, suite notamment à l’ouverture de la
plate-forme téléphonique aux autres sites extérieurs.
Monsieur
BOCQUET explique que l’on risque d’avoir jusqu’à 3000 appels/jour, aujourd’hui uniquement
4 CITR sont basculés, mais la volumétrie a été calculée suffisamment large.
Monsieur
BARDET rappelle que les serveurs sont à l’extérieur et demande s’il est prévu
de les héberger à la CRAM.
Monsieur
CORVAISIER répond négativement, le choix ayant été fait au départ. Il y avait
plus d’inconvénients à le faire ici qu’ailleurs. Le choix technique a été fait,
et il n’y avait pas d’enjeu d’emploi.
Monsieur
CORVAISIER confirme que la bascule sera achevée d’ici l’été. A ce moment là
nous pourrons avoir la volumétrie exacte.
3°
Avis sur les bilan et compte de
résultat du Comité d’Entreprise arrêtés au 31/12/2001 en présence du
Commissaire aux Comptes
Entrée
de Monsieur CABANEL, Commissaire aux Comptes et de son adjoint.
Monsieur
SEYS explique qu’en 1999, 2000 et 2001 les bilan et compte de résultat ont été
faits en leur temps. Il y a un an, le commissaire aux comptes a donné des
recommandations pour clôturer les comptes au 31/12/2001. Un travail comptable a
été effectué sur ces 3 exercices. 24 pièces comptables supplémentaires ont été
établies. La plus importante étant l’ajustement entre la comptabilité générale
et la comptabilité auxiliaire des prêts.
Au
31/12/2001, 310 000 Frs ont été provisionnés car cela correspond aux prêts
dont le recouvrement est douteux.
Ce
chiffre va être atténué, des agents n’ayant pas payé l’échéance de janvier 2000
l’ont fait depuis. La majorité des créances douteuses se situe dans les années
1988 à 1992.
Monsieur
BARDET avance que ces créances irrécouvrables sont le résultat d’un processus,
pendant plusieurs années, aucune relance n’a été faite. Certaines personnes ont
bénéficié de prêts et ne les ont jamais remboursés.
Monsieur
HIDOT précise que lorsqu’il a repris la commission des prêts, il a été donné
priorité de remettre ces dossiers à jour. Il y en a une centaine, sa démarche a
été de considérer qu’il faut les apurer pour la fin de cette année. A chaque
Commission, seront été étudiés 10 dossiers, courant avril sera convoquée une commission
pour traiter 20 dossiers, le but étant que pour fin 2005 l’ensemble des
dossiers soit examiné.
Monsieur
HIDOT ajoute que pour les échéances de janvier 2000, une relance avait été
faite qui était restée sans réponse. Il a été décidé lorsqu’il y a une nouvelle
demande de prêt, d’imposer le remboursement avant de servir le prêt. Il précise
que lorsqu’il y a possibilité de récupérer, on le fait, il y a les abandons de
créance faits par la commission, suite à des décès, les cas qui ne peuvent pas
être réglés en commission passeront par le Comité d’Entreprise en réunion
plénière.
Monsieur
CABANEL, Commissaire aux comptes prend la parole.
Jusqu’au
31/12/2001, il a fait un travail de contrôle des comptes en tant qu’expert
comptable. La mission de Commissaire aux Comptes ne pouvant commencer qu’à
partir de 2002, au vu des soldes à nouveau au 31/12/2001. C’est au vu de ce qui
est dans le rapport que des écritures comptables ont été réalisées pour
présenter les comptes au 31/12/2001 qui sont définitifs. Toutes les
recommandations ont été suivies. Il y avait une balance auxiliaire des prêts
mais nous n’avions pas pu faire le rapprochement avec la comptabilité générale.
Maintenant il y a une liste nominative des prêts, et la balance auxiliaire
correspond au montant du bilan.
Monsieur
CORVAISIER interroge Monsieur CABANEL sur le planning de charges pour certifier
les comptes 2002, 2003 voire 2004.
Monsieur
CABANEL avance que 2002 et 2003 sont bien avancés, il ne restait plus que les
problèmes des soldes à nouveau.
Monsieur
CORVAISIER demande s’il peut espérer avoir une présentation du rapport du
Commissaire aux Comptes pour 2002 et 2003 avant l’été, et 2004 avant la fin de
l’année.
Monsieur
LAURENT acquiesce, tout sera entrepris pour tenir ces échéances.
Messieurs
SEYS et HIDOT précisent que dans la mesure ou un accord sur les comptes au
31/12/2001 a été donné, on pourra poursuivre les opérations.
AVIS SUR LES COMPTES 2001
Contre 0
Abstention 1 (P CARON)
Pour 6 (C. ADJOVI, D. DUROT, C. HIDOT,
A LAURENT, D. SEYS, C. CARBONNET)
4° Déclaration des handicapés – Exercice
2004
Monsieur
BARDET constate que nous sommes loin de l’obligation légale de 6%.
Monsieur
BOCQUET rétorque que nous n’atteignons pas le taux, nous avons des départs en
retraite de personnes reconnues ou bénéficiant de pensions d’invalidité qui
viennent neutraliser les efforts à l’embauche. Il est très compliqué
d’embaucher des handicapés, la typologie d’emplois proposée, le niveau demandé fait
obstacle à l’embauche. Nous avons très peu de candidatures de handicapés.
Monsieur
BARDET ajoute que le nombre de diplômes élevé qui est demandé est difficile
pour les handicapés.
Monsieur
BOCQUET réplique que l’intégration des handicapés à la CRAM ne se fait pas
toujours facilement.
Monsieur
BARDET rappelle qu’il y a des objectifs dans la COG qui prévoient l’intégration
de chômeurs longue durée, de handicapés. Il serait utile d’abaisser l’exigence
de niveau de diplômes pour intégrer des personnes avec moins de diplômes, la
CRAM pouvant leur apporter une formation complémentaire.
5°
Etat des heures supplémentaires
arrêté au 28 février 2005
Madame
DEBOSQUE signale des abus au niveau de l’application des horaires. Des réunions
ont lieu à 18 heures 30 jusqu’à 21 heures.
Monsieur
CORVAISIER demande de ne pas hésiter à faire remonter les anomalies, il y a une
règle à appliquer, si le règlement intérieur n’est pas respecté, il faut le
faire savoir. Toute heure supplémentaire doit être sollicitée par la
hiérarchie. Quant au travail le lundi pour les agents qui ne travaillent pas
habituellement, c’est strictement interdit. Il invite les assistantes sociales
à ne pas se rendre en réunion le soir, sauf s’il y a une demande expresse du
cadre.
Monsieur
BARDET s’interroge à savoir s’il y a besoin d’un ordre écrit pour être couvert
en accident de travail en cas de réunion hors des horaires de travail.
Monsieur
CORVAISIER répond qu’il y a besoin au moins d’un ordre oral.
6°
Information sur les véhicules de
service
Monsieur
CARBONNET prend la parole.
La
Direction s’est engagée dans un processus qui vise à un système de location ou
d’achat d’une flotte de véhicules dans le cadre d’économies. Il y a des
difficultés qui se posent vis-à-vis des agents qui sont dans l’obligation
d’utiliser le véhicule de service.
Actuellement
il y a un conflit qui touche les agents du temps de la retraite. Monsieur
CARBONNET souhaiterait que le Comité soit avisé.
Monsieur
BOCQUET informe qu’il n’y a pas d’étude qui conduirait à étendre de façon
considérable le parc des véhicules de service. L’étude menée est une étude
économique qui fait état de la situation du parc automobile de la CRAM qui est
un parc avec des véhicules très anciens, et d’autres qui sont récents et sont
utilisés de façon disparate, certains roulent énormément et d’autres très peu.
La
question se posait de savoir si nous continuions à investir en achetant des
véhicules. Il s’avère qu’acquérir des véhicules de location est plus
intéressant notamment par rapport à la gestion. Sur 3 ans, il sera procédé à un
renouvellement progressif de l’ensemble du parc.
Les
véhicules de service, pour certains sont très peu utilisés. Il a été décidé au
niveau de la branche maladie d’affecter un véhicule RENAULT SCENIC qui est
utilisé pour les déplacements les plus lointoins. Il en est de même pour les
agents du Temps de la Retraite, un véhicule est affecté par roulement.
L’objectif
est de mettre à disposition pour les agents qui roulent le plus, des véhicules
de service qui permettent de faire des économies de gestion sur les frais de
déplacement.
Monsieur
CARBONNET fait référence à une note distribuée aux agents du Temps de la
Retraite et de la Complémentarité qui distille les conditions de prise en
charge du véhicule. Le véhicule sera garé chaque jour sur le parking de la
CRAM, si pour des raisons pratiques (retour tardif, départ tôt le matin) le
véhicule sera sous la responsabilité de l’agent. Le temps de déplacement
professionnel n’est pas un temps de travail effectif, et de préciser que les
pressions et menaces diverses exercées à l’encontre de certains agents ne sont
pas de nature à favoriser une issue honorable d’un litige naissant. Mais peut
être ne s’agit il que de maladresses ?
Monsieur
CORVAISIER répond que le principe est le renouvellement du parc de véhicules de
service afin qu’il soit plus neuf et mieux entretenu. Les modalités
d’organisation de planning d’utilisation de ces véhicules se discutent entre la
hiérarchie et les salariés. Il n’est pas question que ces véhicules soient
tranformés en véhicule de fonction, ce sont des véhicules de service. Il a été
demandé à Madame TRICOTEAUX de réunir dans le courant du mois de juin, les
agents concernés avec leur hiérarchie. Il s’agira de tenter de trouver des
modalités d’utilisation de ces véhicules de service les plus compatibles
possibles tant pour la CRAM que pour les intéressés.
Il
est vrai que ces véhicules ne peuvent être utilisés pour des motifs personnels.
C’est un problème de responsabilité.
7°
Questions diverses
Madame
VAN BELLEGHEM pose une question concernant la diffusion des informations du
Comité d’Entreprise. Plusieurs collègues se plaignent de ne pas avoir
connaissance des informations du Comité d’Entreprise, alors que les notes sont
tirées à 1200 exemplaires, tirage supérieur au nombre d’agents.
Monsieur
CORVAISIER avance que la solution sera apportée par Intranet.
Monsieur
BOCQUET précise que si le problème persistait, il serait bien de lui
communiquer les noms des secteurs concernés afin qu’il puisse s’adresser au
secteur courrier ou aux cadres des services concernés selon les problèmes
rencontrés.
FIN DE LA REUNION A 12 HEURES 35
LE
SECRETAIRE,
ALAIN LAURENT